Deux exemples de reconstruction :
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Proposée par ICOMOS France
Au début de l’année 2012, le Mali a été le théâtre d’une crise grave. Le site de Tombouctou inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO en 1988 a été confronté à une occupation barbare durant laquelle le patrimoine de la ville a beaucoup souffert. Si, bien heureusement, la plupart des manuscrits de la ville ont pu être déplacés, 16 mausolées ont été détruits ainsi que la porte secrète de la mosquée de Sidi Yahia. Par ailleurs les trois mosquées historiques n’ont pu être entretenues correctement et le tissu ancien a été en partie abandonné. Dans ce contexte, Tombouctou fut placé sur la liste du Patrimoine mondial en péril. Puis, dès la libération de la ville en 2013, un programme de réhabilitation du patrimoine culturel fut lancé à l’initiative de l’UNESCO et des ministères de la Culture du Mali et de la France. Celui-ci a été réalisé essentiellement par des acteurs locaux avec le soutien de CRAterre. Le programme prévoyait la reconstruction des biens détruits et la restitution de sa valeur universelle exceptionnelle. La conférence sera l’occasion d’exposer en détail les enjeux et le déroulement de ce programme qui vient tout juste d’être bouclé. Intervenant : Après l’incendie de 2003 qui a détruit une grande partie sud du château de Lunéville, les études menées sur l’édifice ont permis de définir une orientation pour la mise en œuvre des indispensables mesures conservatoires, alimentant déjà le projet de restauration-reconstruction. Intervenant : |
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Info Pratiques : |
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